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poniedziałek, 31 sierpnia 2015

Matthieu (16) i tłumaczenie


          Il pense déjà de son église terrestre[1]. Distingué Peter et dit: Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle. Je te donnerai les clefs du royaume des cieux: ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux, et ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux. Alors il recommanda aux disciples de ne dire à personne qu'il était le Christ (Matthieu 16:18–20). Sans aucun doute, ceci est une reconnaissance de la priorité de Pierre, et les mots: Je te donnerai les clefs du royaume des cieux: ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux, et ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux (Matthieu 16:19) il existe des formules promesse. Ont-ils un sens littéral et pratique? Dieu a donné à plusieurs reprises des preuves qui compte avec un homme et qu'il l'a invité à co-entreprise, qui consiste à transformer le monde. Il est facile à lire, que les paroles de la promesse se trouve la véritable autorité, la liberté d'action (plenipotentia). Le premier homme qui a obtenu telle   « plenipotentia »  était Jésus. Il les transmettre aujourd'hui à Peter. Pour un homme marqué par la responsabilité enceinte. Pas tout le monde peut l'égaler. L'histoire montre hauts et les bas des gouverneurs de Dieu. Cependant, la stigmatisation (sacrement) est un operato ex opere. Le sacrement des résultats déjà marqué. Doué sera signifiera autre. Ils vont administrer les sacrements (mariage, le sacerdoce, ...). Si Jésus a présenté les mécanismes d'un pouvoir surnaturel, qui est à dire, ils étaient dans la prescience de Dieu. Il faut regarder différemment, par exemple, sur l'institution du mariage. Il est non seulement une relation entre deux personnes, mais la sainte communion. Ceux qui ne prennent pas le mariage à l'église ne bénéficie pas des dons de la grâce de Dieu. Ils faussent les idées de relation familiale. Pas les mariages sacramentelle ne sont pas un péché, mais aussi ne sont pas l'objet d'une divine Providence spéciale. L'homme ne se détacha de l'intimité de Dieu. Il veut représenter sur vous et votre relation. Il a ce droit. Peut-être cela montrer ce qu'il peut faire. Plus d'un enfant saute hors de soins maternels et veulent subvenir à leurs besoins. Si un homme a vécu jusqu'à la responsabilité, je ne pense pas que Dieu le lui reprocher. Aujourd'hui, de moins en moins de mariages sacramentels. Mais vous devez garder l'humilité qui ne se termine comme dans le cas de la tour de Babel. L'orgueil est en elle-même fatale.

          Préoccupé par l'annonce de Jésus, qu'Il est le Messie prédit est droite. Il aura encore le temps.

          Jésus savait leur avenir. Constamment, il met en œuvre son plan. Il a dirigé obstinément à la croix. Il est difficile de comprendre. Pourquoi? Pourquoi une telle pensée? Il pensait déjà la logique du surnaturel. Il savait l'état de la vérité, ce qui est licite et ce qui l'est pas. Seul votre victime pourrait sauver le monde. Son amour infini ne peut vaincre le péché finie. Était-ce l'idée de Dieu? Vous ne pouvez pas répondre oui ou non. Nous devons répondre à ce qu'il avait à faire. La situation l'exigeait. Dieu est pas un magicien qui raconte mouvement des cornes, être fait. Dans le monde du surnaturel également lié par les règles. Ces principes découlent de la raison de l'existence. Dieu est pas l'auteur de tout. Par exemple. Le principe de « la gauche et à droite » il n'y a pas développeur et cela en soi est apparente (le terme primitive). La même chose est vraie dans le monde du surnaturel. Dieu est propre nature "gêné". Ne soyez pas surpris paroles que Jésus "corrigée" l'erreur Créateur. Faire confiance à Dieu implicitement création. Il n'a aucune expérience en donnant libre arbitre. Le libre arbitre est un attribut de Dieu. L'homme a utilisé à sa manière, est pas toujours juste. L'idée du monde a été menacé. Jésus a pris sur lui-même le bon état suprême de réparation. Seul l'amour infini était capable de produire un des mécanismes salutaires. Bien sûr, il aurait pu faire la même Créateur, mais a réussi à créer un amour qu'il a donné une chance de participer à cette grande œuvre l'homme. Jésus, le Fils de l'homme a pris sur lui le grand poids. Et dire que certaines personnes se demandent ce que vous devriez l'aimer.

          Jésus humainement peur de la mort. Actions avec les élèves savent sur leur sort futur (Mt 16:21). Personne ne le comprend. Peter le réconforta maladroitement. Cela ne veut pas ce que Jésus voulait dire. Il voulait comprendre et de confort. Jésus était un vrai homme. Il se sentait et vivait comme les autres. Banalité et la simplicité de Peter même réaction de colère de Jésus. Il lui dit: Arrière de moi, Satan! tu m'es en scandale; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes (Matthieu 16:19). Comme dans le cas de Jonas, Jésus a utilisé le terme «Satan» couramment utilisé par les Juifs. Cela ne veut pas son autorisation. Plus peut être lu cette réponse dans la colère.

          Jésus savait bien la valeur de l'action menée. Même aujourd'hui, tous comprennent pas le concept de fonctionnement et son rôle dans le fonctionnement du monde. Bonne fonctionnelle est nécessaire pour neutraliser le mal fonctionnelle. Sans amour, le monde ne va pas continuer. Il tombera en morceaux parce qu'il n'y a aucune raison ou à droite, que tout maintenu. Nécessaire pour maintenir le monde est la puissance de l'amour. Cette puissance active et anime les forces de la nature. Qui peut comprendre, qu'il comprenne (Matthieu 19:12).

          Il a donc encouragé les gens: Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive (Matthieu 16:24). Jésus était un homme et avait le droit d'encourager les autres. On ne propose pas croix, mais encouragé à surmonter leurs propres difficultés sur le chemin du Christ. Le plus ses disciples, le monde sera meilleur et plus merveilleux. L'homme est un être qui a le corps et l'âme. Tant en raison de nature différente possède ses propres besoins. Heureux l'homme qui ne peuvent satisfaire ces deux domaines. Jésus, en disant: Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perdait son âme? ou, que donnerait un homme en échange de son âme? (Matthieu 16:26)  indique que l'esprit de la zone est plus important. Le corps est une enveloppe de l'âme et sert de procréer. Sur le terrain sert une fonction très importante qui ne peut être minimisé ou faire marge. Qui fait, vient de ruiner la chair. Avec les souffre de corps et l'âme. Le corps humain, enveloppe corporelle et ses plaisirs. Qui a une vision saine de la vie et se soucient les uns des autres. La fonction principale de l'homme est de faire le bien et à accomplir les desseins de Dieu. L'homme a des propositions à partir d'un large éventail d'activités. Dieu ne force pas un homme signifie pour les atteindre. Il est important que l'homme était active, créative, utile. Après la mort rendra compte de ses actes, les plans et les échecs. Dieu veut que la réalisation spirituelle de l'homme. Quant à la lecture de l'existence humaine du Créateur et d'entrer avec lui dans une relation intime. La condition est la foi en Dieu. Qui ne fait aucun doute que cela veut dire qu'il est encore sur le chemin. Chercher Dieu peut prendre encore une durée de vie. Dieu est un Dieu «jaloux»: car l'Éternel, ton Dieu, est un Dieu jaloux (Deutéronome 06:15; cf. Ex 20,5; 34,15; 24,19 Joz, Sur 1:2), cela signifie que les désirs humains pour lui-même seul. Il sait que seul avec lui l'homme sera heureux.

          Il a accepté de le reconnaître comme le Messie par les étudiants. Maintenant, je voulais montrer dans ce qui est une relation avec Dieu. Il prit avec lui Pierre, Jacques et Jean son frère sur le mont Thabor et il a fait la transfiguration. Il était anticipation (spectacle) Ses des événements futurs. Il se montra à ses disciples dans la gloire du Père, ce qui l'attend. Personnages Moïse et Élie étaient d'autoriser la gravité de la transfiguration. Les étudiants ont également entendu les paroles de Dieu: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection: écoutez-le! (Matthieu 17:5). Il découvre la carte. Les élèves reconnaissent de plus en Jésus. Cependant, ils ne comprennent pas bien l'ensemble. Les étudiants passent par des étapes Cognizability Dieu. Le plus ils sont ouverts, plus ils comprennent. Jusqu'à présent, seuls trois élèves  ont reçu cet honneur. D'autres doivent encore attendre. Jésus leur demande de discrétion: Ne parlez à personne de cette vision, jusqu'à ce que le Fils de l'homme soit ressuscité des morts (matthieu 17:9). Il est significatif que jusqu'à la résurrection. Alors Jésus obtiendra la pleine gloire du Père et de la volonté du Père en un acte d'exploitation.


[1] Le prêtre prof. Mariusz Rosik croit que Jésus ne serait pas assumer le christianisme et la nouvelle église, seulement pour améliorer le judaïsme (de la correspondance privée).


Tłumaczenie


          Jezus myśli już o swoim ziemskim kościele[1]. Wyróżnia Piotra słowami: Ty jesteś Piotr [czyli Skała], i na tej Skale zbuduję Kościół mój, a bramy piekielne go nie przemogą. I tobie dam klucze królestwa niebieskiego; cokolwiek zwiążesz na ziemi, będzie związane w niebie, a co rozwiążesz na ziemi, będzie rozwiązane w niebie». Wtedy surowo zabronił uczniom, aby nikomu nie mówili, że On jest Mesjaszem (Mt 16,18–20). Niewątpliwie jest to uznanie priorytetu Piotra, a słowa: I tobie dam klucze królestwa niebieskiego; cokolwiek zwiążesz na ziemi, będzie związane w niebie, a co rozwiążesz na ziemi, będzie rozwiązane w niebie» (Mt 16,19) są formułą przyrzeczenia. Czy mają one znaczenie dosłowne i praktyczne? Bóg wielokrotnie dawał dowody, że liczy się z człowiekiem i że zaprosił go do wspólnego przedsięwzięcia, jakim jest przemienianie świata. Nie trudno jest odczytać, że za słowami przyrzeczenia kryje się prawdziwa plenipotencja. Pierwszym Człowiekiem, który uzyskał takie plenipotencje był Jezus. On teraz przekazuje je Piotrowi. Na człowieku naznaczonym ciąży wielka odpowiedzialność. Nie wszyscy potrafią jej sprostać. Historia pokazuje upadki i wzloty namiestników Bożych. Jednak naznaczenie (sakrament kapłaństwa) ma charakter ex opere operato. Sakrament skutkuje już samym naznaczeniem. Obdarowani będą naznaczać innych. Będą udzielać sakramentów (małżeństwa, kapłaństwa,...). Jeżeli Jezus wprowadził mechanizmy pewnej władzy nadprzyrodzonej, to znaczy, że były one w zamysłach Boga. Trzeba inaczej spojrzeć np. na instytucję małżeństwa. To nie tylko związek dwojga ludzi, ale komunia święta. Ci, którzy nie biorą ślubu kościelnego nie korzystają z darów łaski Boga. Wypaczają idee związku rodzinnego. Związki niesakramentalne nie są grzechem, ale nie podlegają szczególnej Bożej Opatrzności. Człowiek jedynie odrywa się od Bożej zażyłości. Chce sam o sobie stanowić i swoim związku. Ma do tego prawo. Być może pokaże, na co go stać. Niejedno dziecko wyskakuje z matczynej opieki i chce stanowić o sobie. Gdyby człowiek sprostał odpowiedzialności, nie sądzę, aby Bóg miał do niego pretensje. Dzisiaj coraz mniej jest sakramentalnych małżeństw. Trzeba jednak zachować pokorę, aby nie skończyło się jak w przypadku wieży Babel. Pycha jest sama w sobie zgubna.
          Obawa Jezusa o głoszeniu, że On jest zapowiadanym mesjaszem jest słuszna. Na to przyjdzie jeszcze czas.          
          Jezus znał swoją przyszłość. Konsekwentnie realizował swój plan. Zmierzał z uporem na krzyż. Trudno to pojąć. Dlaczego? Skąd taka myśl? Jezus myślał już logiką nadprzyrodzoną. Wiedział ze stanu Prawdy, co się godzi, a co nie. Tylko własną ofiarą mógł wybawić świat. Jego miłość nieskończona może pokonać skończony grzech. Czy był to zamysł samego Boga? Nie można odpowiedzieć ani tak, ani nie. Trzeba odpowiedzieć, że tak należało postąpić. Sytuacja tego wymagała. Bóg nie jest czarodziejem, który ruchem różki powie niech się stanie. W świecie nadprzyrodzonym też obowiązują zasady. Zasady te wynikają z racji istnienia. Bóg nie jest autorem wszystkiego. Np. zasada lewej i prawej strony nie ma autora i to samo przez się jest zrozumiałe (pojęcie pierwotne). Podobnie jest w świecie nadprzyrodzonym. Bóg jest „skrępowany” własną naturą. Nie zdziwią mnie słowa mówiące, że Jezus „skorygował” błąd Stwórcy. Bóg zaufał bezgranicznie stworzeniu. Nie miał doświadczenia w udzielaniu wolnej woli. Wolna wola jest już przymiotem Boskim. Człowiek wykorzystał ją na swój sposób, nie zawsze godziwy. Idea świata została zagrożona. Jezus wziął na siebie naprawę stanu Dobra najwyższego. Tylko miłość nieskończona była w stanie wytworzyć mechanizmy zbawienne. Oczywiście mógł tego dokonać sam Stwórca, ale kierowany miłością do stworzenia dał szansę człowiekowi współuczestniczyć w tym wielkim dziele. Jezus, Syn Człowieczy wziął na siebie ten wielki ciężar. I pomyśleć, że niektórzy zastanawiają się, za co należy Go kochać.
          Jezus po ludzku boi się śmierci. Dzieli się z uczniami wiedzą o swoim przyszłym losie (Mt 16,21). Nikt Go nie rozumie. Piotr pociesza Go nieudolnie. Nie o to Jezusowi chodziło. Pragnął zrozumienia i pocieszenia. Jezus był prawdziwym Człowiekiem. Czuł i przeżywał podobnie jak inni ludzie. Zwyczajność i prostota reakcji Piotra nawet zdenerwowała Jezusa. Odpowiedział mu: Zejdź Mi z oczu, szatanie! Jesteś Mi zawadą, bo myślisz nie na sposób Boży, lecz na ludzki (Mt 16,23). Podobnie jak w przypadku Jonasza Jezus użył pojęcia „szatana” powszechnie używanego przez Żydów. Nie jest to żadna jego autoryzacja. Bardziej można odczytać, że odpowiadał w gniewie.
          Jezus doskonale znał wartość podjętych działań. Nawet dzisiaj nie wszyscy rozumieją pojęcie funkcjonału i jego roli w funkcjonowaniu świata. Funkcjonał dobra jest konieczny do neutralizacji funkcjonału zła. Bez miłości świat się nie utrzyma. Rozpadnie się, bo nie ma żadnego powodu, ani racji, aby wszystko trzymało się ze sobą. Do podtrzymywania świata potrzebna jest moc miłości. Moc ta uaktywnia i ożywia siły przyrody.  Kto może pojąć, niech pojmuje (Mt 19,12).
           Jezus zachęca więc ludzi: Jeśli kto chce pójść za Mną, niech się zaprze samego siebie, niech weźmie krzyż swój i niech Mnie naśladuje (Mt 16,24). Jezus był Człowiekiem i miał prawo zachęcać innych. Nie proponuje krzyża, ale zachęca do pokonywania własny trudów na sposób Chrystusowy. Im więcej będzie Jego naśladowców, tym świat będzie lepszy i cudowniejszy.
          Człowiek jest istotą, która ma ciało oraz duszę. Jedno i drugie z racji różnej natury posiada własne potrzeby. Szczęśliwy człowiek, który potrafi zaspokoić obie te strefy. Jezus mówiąc:  Cóż bowiem za korzyść odniesie człowiek, choćby cały świat zyskał, a na swej duszy szkodę poniósł? Albo co da człowiek w zamian za swoją duszę? (Mt 16,26) wskazuje, że strefa ducha jest ważniejsza. Ciało jest powłoką duszy i służy do prokreacji. Na ziemi spełnia bardzo ważną funkcję której nie można bagatelizować ani marginesować. Kto to czyni, dochodzi do ruiny cielesnej. Wraz z ciałem cierpi i dusza. Ciało ludzkie, powłoka cielesna ma swoje i przyjemności. Kto ma zdrowe podejście do życia dba o jedno i o drugie. Podstawową funkcją człowieka jest czynić dobro i spełniać zamysły Boga. Człowiek ma propozycje z szerokiego spektrum działalności. Bóg nie narzuca człowiekowi sposobów ich realizacji. Ważne jest, aby człowiek był aktywny, twórczy, przydatny. Po śmierci zda relację ze swych uczynków, zamierzeń oraz porażek. Bóg pragnie realizacji duchowej człowieka. Chodzi o odczytanie przez człowieka istnienia Stwórcy i wejście z Nim w zażyły stosunek. Warunkiem jest wiara w Boga. Kto ma wątpliwości to znaczy, że ciągle jest w drodze. Szukanie Boga może zająć nawet całe życie. Bóg jest Bogiem „zazdrosnym”:  Jahwe bowiem, twój Bóg [przebywający] pośród ciebie, jest Bogiem zazdrosnym (Pwt 6,15; por. Wj 20,5; 34,15; Joz 24,19; Na 1,2), to znaczy, że pragnie człowieka dla siebie samego. Wie, że tylko przy Nim człowiek będzie szczęśliwy.
          Jezus zgodził się na uznanie Go przez uczniów za Mesjasza. Teraz sam chciał pokazać w jakiej jest relacji z Bogiem. Wziął ze sobą Piotra, Jakuba i jego brata Jana na górę Tabor i tam dokonał przemienienia. Nastąpiła antycypacja (ukazanie) przyszłych Jego zdarzeń. Pokazał się uczniom w chwale Ojca, jaka Go czeka. Postacie Mojżesza i Eliasza miały autoryzować powagę przemienienia. Uczniowie usłyszeli też słowa samego Boga: To jest mój Syn umiłowany, w którym mam upodobanie, Jego słuchajcie! (Mt 17,5). Jezus odkrywa karty. Uczniowie coraz bardzie poznają Jezusa. Jeszcze nie do końca rozumieją całości. Uczniowie przechodzą etapy poznawalności Boga. Im bardziej są otwarci, tym więcej rozumieją. Póki co, dopiero trzech uczniów dostąpiło tego zaszczytu. Inni muszą jeszcze poczekać. Jezus prosi ich o dyskrecję: Nie opowiadajcie nikomu o tym widzeniu, aż Syn Człowieczy zmartwychwstanie (Mt 17,9). Znamienne, że aż do zmartwychwstania. Wtedy Jezus dostąpi pełnej Chwały Ojca i będzie z Ojcem w jednym Akcie działającym.  


[1] Ks. prof. Mariusz Rosik uważa, że Jezus nie chciał zakładać chrześcijaństwa i nowego kościoła, tylko udoskonalić judaizm (z korespondencji prywatnej).


 

niedziela, 30 sierpnia 2015

Matthieu (15) i tłumaczenie


          Malgré la simplicité des paroles de Jésus, il doit expliquer aux élèves « le café sur la table » ce qui souille l'homme. Ils ne comprenaient pas. Nouveau difficile à assimiler. Lust ils répondent le manque littérale de propreté et d'hygiène. Jésus a expliqué: Mais ce qui sort de la bouche vient du coeur, et c'est ce qui souille l'homme. Car c'est du coeur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, les faux témoignages, les calomnies.  Voilà les choses qui souillent l'homme; mais manger sans s'être lavé les mains, cela ne souille point l'homme (Matthieu 15:18–20).

          Les mots sont un instrument de la création et de la transmission de l'amour, mais ils peuvent aussi tuer. Il faut soigneusement utiliser un discours. Les mots révèlent les profondeurs de l'homme et les tentatives coeur. Le cœur (de conscience) est le noyau secret le plus, qui prend tout le mystère de la foi humaine, l'amour, mais  et la haine. Dieu a à diriger perspicacité.  Rien contre lui ne peut pas cacher.

          Description de la rencontre de Jésus avec la femme de Canaan (Syrofenicjanką) est dirigé. Initialement, Jésus se tourne un rhume femme parce qu'ils ne font pas partie de la maison d'Israël (Matthieu 15:24), mais ses demandes insistantes doivent guérir sa fille. Jésus loue la foi des femmes. Il montre aussi qu'il peut servir tout le monde, si quelqu'un ouvre sur lui et lui donne la foi. La péricope montre le levain de l'universalité de Jésus.

          Jésus a accompli plusieurs signes et des prodiges. La foule était dans l'admiration de voir que les muets parlaient, que les estropiés étaient guéris, que les boiteux marchaient, que les aveugles voyaient; et elle glorifiait le Dieu d'Israël (Mt 15,31). Jésus se fit connaître. Il voulait que les Juifs remarqué la bonne qui le fait. Fils montre le Père. Les miracles de Jésus sont un signe visible de la puissance divine. Ils sont la preuve visible de l'enseignement propagé. L'un d'eux est présenté comme un seul mystère.

          Jésus la deuxième fois fait le miracle de la multiplication des pains et des poissons. Tout comme la première fois, il rendit grâces. Jésus n'a pas caché le geste. Ainsi, il ne voulait pas être perçue comme indépendante Miracle–
Créateur, Guérisseur. Jésus n'a pas caché que derrière lui est Dieu. Église de catéchèse essaie sincèrement déjà mis Jésus sur la position de Dieu. Trop rapide. Heureusement, Jésus était la création d'humilité. Parfois, il me semble que vous avez besoin de regarder Jésus par les yeux filozoteizmu. Certes, vous pouvez voir en lui un grand nombre de grandes qualités et admirez son attitude.

          Je reconnais que, au début de la route de la recherche théologique, je me méfiais de Jésus. Une étude approfondie a permis à moi de découvrir la vérité sur lui. Avec le sceptique que je suis devenu son disciple ardent. Il a aidé à répondre (l'état de la Vérité). Il m'a offert sa connaissance. Quand je vous écris, je sens sa présence et de l'aide[1].

          Les pharisiens demandèrent à Jésus un signe du ciel. Je prie pour déroger à cette demande. Inscrivez-moi spéciale est pas nécessaire. Le signe pour moi est tout ce que je vois et de l'expérience. Faith se tourna en connaissances. Entomologiste français Jean-Henri Fabre (1823–1915) a dit, je ne crois pas en Dieu, je le vois. Je répète les mots un peu changé: je ne crois pas en Dieu, je sais (Carl Gustav Jung). La connaissance me porte à croire: Si vous ne croyez pas que vous ne comprendrez pas (Isaïe 7,5).

          Jésus menaça les pharisiens qu'ils voient autour d'eux des œuvres de Dieu qui sont aveugles. Ils ne peuvent pas se permettre de mettre en place leur esprit. Tout est clairement visible. Le monde est logique mathématique. Système Mendeleïev est une grande preuve de concept de l'univers. Que celui qui peut comprendre comprenne (Matthieu 19:12).

          Jésus dit aux Juifs, leur langue et leur connaissance des faits. Même si nous savions que le livre de Jonas est une légende, elle comptait sur elle. Figure Jonas et sa présence de l'événement pendant trois jours dans le ventre d'une baleine très bien inscrivent dans l'histoire future de Jésus. Jésus ne autorise nullement légende. Il était un signe de protestation contre la stupidité des Juifs et de l'expiation théologie de faux enseignements des Pères. Pour une explication des légendes, paraboles temps Haggada vient. À l'époque de Jésus, ils étaient encore nécessaires.

          Dans la prochaine péricope est montré mortification des étudiants avec de la nourriture pour le lendemain (Matthieu 16,5-12). Il essaie de les convaincre que sa présence est une garantie que rien de mauvais ne peuvent-ils être, quand il est proche. Les étudiants doivent se concentrer toute votre attention sur l'enseignement de Jésus. Jésus était un grand et fort adversaire des enseignements des Pharisiens, les Sadducéens et les chercheurs dans les Écritures. À plusieurs reprises, il en parle. Vous ne devriez pas prendre en compte ses préoccupations et objections? Catéchèse Ancien Testament a rempli son rôle éducatif à travers les générations. Maintenant il est temps de le réviser. Il est intéressant de noter que jusqu'à présent seuls quelques-uns ont pris des mesures à la recherche. L'église a gelé en place. Peut-être qu'il l'accablait. Au début, ils se sont battus pour la position de l'Eglise dans le monde. Sur la critique de la vieille manqué de temps. Le fait est que Jésus a déjà le mentionne. Que ses mots et les activités continueront d'inspirer les gens à continuer la recherche.

          Il surveille leur performance. Il demande à ses disciples: Qui dit-on que le Fils de l'homme? Simon Pierre répondit: Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant (Matthieu 16:16). Jésus la premier fois accepte de le reconnaître comme le Messie. Peter autorise déclaration disant: Heureux es-tu, Simon, fils de Jonas; car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais c'est mon Père qui est dans les cieux (Matthieu 16:17). Peut-être Jésus réalisa qui doit être entré dans l'image prophétisé messie, malgré le fait que sa mission est tout à fait différente. Il arrive dans la vie, cette idée se développe en cours et les gains de profondeur à la fin, pas le début. Vous pouvez considérer cela comme la preuve que le monde humain est pas entièrement déterminé. Dieu conduit l'homme dialogue continu vivant. Les prières peuvent changer les intentions et les plans de Dieu. Il est toujours ouvert à l'initiative humaine et idées. Ainsi, Dieu honore et respecte. La conscience de cela, l'homme devrait flotter. Qui suis-je en face de votre visage, Seigneur, et pourtant vous me compter. Qui peut comprendre, qu'il comprenne (Matthieu 19:12).


[1] En aucune façon je force un peu de ma relation avec Lui surnaturelle. Je suis un gars ordinaire et je sais que dans ma position pourrait être n'importe qui.


Tłumaczenie


          Mimo prostoty słów, Jezus musiał tłumaczyć uczniom kawę na ławę co czyni człowieka nieczystym. Nie pojmowali. Nowe trudno się przyswaja. Nieczystość odbierali literalnie jako brak czystości, higieny. Jezus tłumaczył: Lecz to, co z ust wychodzi, pochodzi z serca, i to czyni człowieka nieczystym. Z serca bowiem pochodzą złe myśli, zabójstwa, cudzołóstwa, czyny nierządne, kradzieże, fałszywe świadectwa, przekleństwa. To właśnie czyni człowieka nieczystym. To zaś, że się je nie umytymi rękami, nie czyni człowieka nieczystym» (Mt 15,18–20).
          Słowa są instrumentem stworzenia i przekazem miłości, ale mogą również zabijać. Należy ostrożnie posługiwać się mową. Słowa ujawniają wnętrze człowieka i zakusy serca. Serce (sumienie) jest najtajniejszym ośrodkiem, w którym rozgrywa się całe ludzkie misterium wiary, miłości, ale i nienawiści. Bóg ma do tego bezpośredni wgląd. Nic przed Nim się nie ukryje.
          Opis spotkania Jezusa z kobietą kananejską (Syrofenicjanką) jest wyreżyserowany.  Początkowo Jezus okazuje kobiecie chłód, bo nie należy do domu Izraela (Mt 15,24), ale na usilne jej prośby podejmuje się uzdrowić jej córkę. Jezus chwali wiarę kobiety. Pokazuje też, że może służyć każdemu, jeżeli ktoś otworzy się na Niego i obdarzy Go wiarą. W perykopie pokazany jest zaczyn uniwersalizmu Jezusa. 
          Jezus czynił wiele znaków i cudów. Tłumy zdumiewały się widząc, że niemi mówią, ułomni są zdrowi, chromi chodzą, niewidomi widzą. I wielbiły Boga Izraela (Mt 15,31). Jezus dawał się poznać. Chciał, aby Żydzi zauważali dobro, jakie czyni. Syn pokazuje Ojca. Cuda Jezusa są widocznym znakiem boskiej mocy. Są widocznym dowodem głoszonej nauki. Jedno z drugim jest złączone w jedno misterium.
          Jezus po raz drugi czyni cud rozmnożenia chleba i ryb. Podobnie jak za pierwszym razem, odmówił dziękczynienie. Jezus nie krył tego gestu. Tym samym nie chciał być odbierany jako samodzielny Cudotwórca, Uzdrowiciel. Jezus nie krył, że za Nim stoi Bóg. Katecheza kościelna usilnie próbuje już ustawiać Jezusa na pozycji Boga. Za szybko. Na szczęście Jezus miał w sobie pokorę stworzenia. Czasem wydaje mi się, że trzeba na nowo spojrzeć na Jezusa oczami filozoteizmu. Zaprawdę można dojrzeć w Nim wiele wspaniałych przymiotów i zachwycić się Jego postawą.
          Przyznaję, że na początku drogi badań teologicznych byłem nieufny Jezusowi. Dogłębne studiowanie pozwoliło mi odkrycie o Nim prawdy. Ze sceptyka stałem się Jego gorliwym wyznawcą. On pozwolił poznać się (ze stanu Prawdy). Ofiarował mi o sobie wiedzę. Kiedy piszę, czuję Jego obecność i pomoc[1]. Faryzeusze żądali od Jezusa znaku z nieba. Ja w modlitwie odstąpiłem od tej prośby. Znak szczególny nie jest mi potrzebny. Znakiem dla mnie jest wszystko co widzę i doświadczam. Wiara przeszła w wiedzę. Francuski entomolog Jean Henri Fabre (1823–1915) mówił: ja w Boga nie wierzę, ja Go widzę. Ja powtarzam słowa trochę zmienione: ja w Boga nie wierzę, ja wiem (Carl Gustaw Jung). Wiedza pozwala mi wierzyć: Jeżeli nie uwierzycie, nie będziecie rozumieli (Iz 7,5).
          Jezus skarcił faryzeuszy, że nie widzą wokół siebie dzieł Bożych, że są ślepi. Nie stać ich na uruchomienie własnego rozumu. Wszystko jest widoczne jak na dłoni. Świat jest matematyczny, logiczny. Układ Mendelejewa jest wspaniałym dowodem koncepcji wszechświata. Kto może pojąć, niech pojmuje (Mt 19,12).


[1] W żadnym stopniu nie forsuję jakiś moich nadprzyrodzonych z Nim relacji. Jestem zwyczajnym facetem i wiem, że na moim miejscu może być każdy.
 


sobota, 29 sierpnia 2015

Matthieu (14) i tłumaczenie


          Jésus atteint tristes nouvelles. Jean-Baptiste a été décapité. Histoire derrière montre les relations qui ont prévalu dans la maison d'Hérode Antipas. Du point de vue du plan de Dieu Jean rempli sa tâche. Sur la scène, il a été laissé seul Fils de l'homme.

          Il a fait la première alimentation miraculeuse des cinq pains et deux poissons d'env. 5.000 hommes, sans compter les femmes et les enfants. Jésus avant miraculeusement leva les yeux au ciel et dit la bénédiction (Matthieu 14:19). Cela signifie que Jésus a prié le Père du pouvoir exécutif. Ce fait est confirmé thèse que Jésus a accompli la gloire du Père seul sur la croix. Dans la vie, elle utilise uniquement les cadeaux de Père à travers l'intimité sans précédent avec Lui. Après avoir nourri les masses des gens que je voulais le faire roi, mais Jésus se retira de ce lieu (Jean 6:15). Jésus n'a pas permis pour la célébration du prophète de son peuple par le public. En attente pour lui la couronne du Père. Lorsque vous marchiez loin de l'endroit du miracle, il est allé seul à la montagne pour prier. Il avait besoin de remercier Dieu et remercier. Il est difficile d'imaginer Dieu à prier Dieu. Il était alors l'un d'entre nous.

          Trois évangélistes (Matthieu, Marc et Jean) décrivent la scène de Jésus marchant sur les feuilles de lac orageux. Chacun d'eux un peu différemment dépeint cet événement (Matthieu 14 :22–33; Marc 6:45–52; Jean 6:16–21). Le passage du temps a pris son péage. Matthieu ajoute épisode avec Peter, qui est venu à la rencontre de Jésus. Probablement sur toile de cet événement Matthieu a voulu montrer que la foi seule permet à l'homme en cas d'urgence. Depuis quelque temps, Peter est également resté sur la surface du lac jusqu'à ce qu'il doutait (vent fort a assommé de l'état de la confiance complète). Jésus a sauvé Peter tirant hors de l'eau.

          Jésus marchant sur le lac dans une manière qui rappelle le règne de Dieu sur la nature: Il étend les cieux, Il marche sur les hauteurs de la mer (Job 9:8) si

le passage à travers de la Mer Rouge (Exode 14:15–29). Il a aussi le pouvoir sur la nature.

          Péricopes montre la préoccupation de Jésus pour ses disciples qui étaient sur le lac dans un petit bateau au milieu des vagues agitées et une distance considérable de la rive. Ainsi, ils ont renforcé leur foi en la divine Providence. Quand Jésus est proche, personne ne peut devenir pas de mal : Je suis, n'ayez pas peur (Matthieu 14:27) !

          Assez déroutant sont les mots: Il se disposait à les dépasser (Marc 6,48b). Comme ils le disent certains théologiens, peut-être Jésus avait initialement pas l'intention d'aider les étudiants, mais seulement voulu montrer sa puissance (épiphanie). Il semble que l'inclusion de ce est plutôt aléatoire ou provenant d'un autre thème de Dieu "entrant". En outre, vous ne disposez pas de ces mots ou la version de Matthieu, ou Jean.

          Marc montre également aux étudiants de se demander qui ne comprenait pas comment vous pouvez multiplier le pain, de silence de la tempête, de marcher autour du lacIls furent en eux-même tout stupéfaits et remplis d'étonnement; car ils n'avaient pas compris le miracle des pains, parce que leur coeur était endurci (Marc 6:51–52). Soyez engourdie, je veux dire de ne pas tout comprendre. Vous pouvez voir ici une certaine économie de la divulgation par Jésus de sa vocation et de la filiation divine. Il peut être à un point de rupture doute et confier à Jésus complètement et sans conteste?

          Dans Génésareth Jésus guérissait les gens. Il a montré ses capacités paranormales: Et tous ceux qui le touchèrent furent guéris (Matthieu 14:36). Ces capacités sont considérées comme un phénomène mental anormal. Leur origine peut être très différent. Il semble que la source se dépose dans la deuxième moitié du cerveau. Ces capacités peuvent avoir n'importe quel homme. Vous pouvez également être développée par des exercices appropriés. Parfois, ils apparaissent de façon inattendue en raison d'une certaine expérience, la maladie, la chute ou événements. Ils peuvent eux-mêmes disparaître. Certaines personnes ont eux comme des dons de Dieu. Il a certainement reçu du Père. Il était conscient de ses capacités. À plusieurs reprises, il a pris des décisions premier merveilleuse et pendant les travaux déjà entrepris demandé à Dieu pour le soutien. Il était sûr que Dieu ne lui manquer. Dieu a montré pleine confiance. À Nazareth et dans d'autres villes Sa capacité en vain, parce que le besoin est la foi la guérison des malades. Une foi active mécanismes qui éliminent la maladie. Sans eux, l'action de guérisseur n'a eu aucun effet.

          Dans le quinzième chapitre de l'Evangile est partiellement découvert l'attitude de Jésus. Comme je le disais, Jésus était sur son chemin à un révolutionnaire, un signe d'opposition à la tradition juive. Les pharisiens et les scribes inquiète de l'attitude des étudiants et prêché les enseignements de Jésus vinrent à lui vouloir lui montrer erreurs doctrinales et de la tradition de rupture. L'habitude était de se laver les mains avant de manger. Ceci résulte de la nécessité d'éliminer les impuretés par exemple acquis. Le marché. Les Pharisiens ont accusé la tradition disciples de rupture de Jésus. Dans sa polémique avec les pharisiens Jésus était un dur, décisives et sans complexes. Sur l'objection à ses disciples, il correspond à une riposte rapide. Il leur montre qu'ils ne suivent pas les commandements de Dieu Honore ton père et ta mère, et celui qui maudit son père ou sa mère, meure de mort. Les pharisiens croyaient que suffisamment de sacrifier le don aux parents et la victime de les soulager de culte (d'appui) père et la mère :Ce dont j'aurais pu t'assister est une offrande à Dieu, n'est pas tenu d'honorer son père ou sa mère (Mt 15,5). Soutenir les parents appelés passent comme un don au temple et deviennent ainsi les donateurs temple. Attendez-vous plus de louange au détriment de ne pas remplir ses obligations aux parents. Fils pourrait être libéré des obligations qu'il avait par rapport à leurs parents vieillissants annonçant la Korban (sacrifice à Dieu une partie des actifs ou de l'argent). Korbanu est juste un exemple de l'une des nombreuses lacunes juridiques destinés à contourner la loi de Dieu. Ceci est ce que l'extérieur semble être un comportement pieux, recouvre en fait l'hypocrisie. Jésus enseigne les paroles d'Isaïe que les lois de Dieu sont plus importants que les préceptes des hommes  (Matthieu 15,9).

          En fait, il accuse les pharisiens et les scribes paroles d'Isaïe: Ce peuple m'honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi (Matthieu 15:8; Esaïe 29:13).

          Jésus se réfère à l'hypocrisie des pharisiens et leur montre: Ce n'est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l'homme; mais ce qui sort de la bouche, c'est ce qui souille l'homme (Matthieu 15:11). Ainsi, il a voulu leur dire que ce ne sont pas impureté rituelle important, mais morale, parce qu'elle souille vraiment un homme. A ces mots, les pharisiens ont été scandalisés. Il était difficile de briser les clichés de la pensée.

          Émerveillement semblable je vois aujourd'hui, quand je présente une interprétation différente (exégèse) de l'Écriture, quand je suis convaincu qu'il n'y a pas d'anges ontologiques ou Satan, et Dieu ne punit pas quiconque. Presque un scandale éclate lorsque soulignant que seul Jésus a souffert sur la croix de la gloire, il était né à Bethléem Man. Les citations littérales de l'évangile qui parle ouvertement, ils ne sont pas fiables, ni crédibles. Je suis un blasphémateur quand je parle de la mutilation de Marie, pas sa conception immaculée. Ce qui a été inculqué au fil des ans, il est difficile à éradiquer. ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles (Matthieu 15:14). Ma mère (90 ans) lit beaucoup. Dernière m'a appelle et dit avec enthousiasme: Vous savez, dans ce livre, que je lis beaucoup écrit maintenant même, comme vous le dites. Après avoir entendu la messe de radio le dimanche, note de légers changements dans la catéchèse.

          Je sais que je vais le droit chemin. Aujourd'hui, je ne suis que le fer de lance d'une nouvelle inspection, intelligent de la foi. Bientôt, nous allons parler de la façon normale dans l'église.

Tłumaczenie


          Do Jezusa dociera smutna wiadomość. Jan Chrzciciel został ścięty. Historia z tym związana pokazuje stosunki jakie panowały w domu Heroda Antypasa. Z punktu widzenia zamysłu Bożego Jan spełnił swoje zadanie. Na scenie pozostał sam Syn Człowieczy.
          Jezus dokonuje pierwszego cudownego nakarmienia pięcioma chlebami i dwoma rybami ok. 5000 mężczyzn, nie licząc kobiet i dzieci. Jezus przed cudem spojrzał w niebo i odmówił błogosławieństwo (Mt 14,19). Znaczy, że Jezus prosił Ojca o moc sprawczą. Ten fakt jest wsparciem tezy, że Jezus osiągnął Chwałę Ojca dopiero na krzyżu. Za życia korzystał jedynie z darów Ojca przez niespotykaną z Nim zażyłość. Po nakarmieniu takiej masy ludzi chciano obwołać Jezusa królem, ale Jezus usunął się z tego miejsca (J 6,15). Jezus nie dopuścił do celebracji na proroka swojej osoby przez słuchaczy. Na niego czeka korona Ojca.  Gdy oddalił się od miejsca cudu, wyszedł sam jeden na górę, aby się modlić. Potrzebował Bogu podziękować i wyrazić dziękczynienie. Trudno wyobrazić sobie modlącego się Boga do Boga. Jezus był wtedy jednym z nas.
          Trzech ewangelistów (Mateusz, Marek i Jan) opisują scenę chodzenia Jezusa po tafli wzburzonego jeziora. Każdy z nich trochę inaczej portretuje to zdarzenie (Mt 14,22–33; Mk 6,45–52; J 6,16–21). Upływ czasu zrobił swoje. Mateusz dodaje epizod z Piotrem, który wyszedł Jezusowi na spotkanie. Prawdopodobnie na kanwie omawianego zdarzenia Mateusz chciał pokazać, że sama wiara uzdalnia człowieka do działań nadzwyczajnych. Przez jakiś czas Piotr również utrzymywał się na tafli jeziora, dopóki nie zwątpił (silny wiatr wytrącił go ze stanu pełnej ufności). Jezus uratował Piotra wyciągając go z wody.
          Chodzenie Jezusa po jeziorze w jakiś sposób przypomina panowanie Boga nad naturą: On sam rozciąga niebiosa, kroczy po morskich głębinach (Hi 9,8), czy opis przejścia przez Morze Czerwone (Wj 14,15–29). Jezus również ma władzę nad przyrodą.
          Perykopa pokazuje troskę Jezusa o swoich uczniów, którzy znajdowali się na jeziorze w małej łodzi wśród wzburzonych fal i w znacznej odległości od brzegu. Tym samym wzmocnił ich wiarę w Opatrzność Bożą. Kiedy Jezus jest blisko, nikomu nie może stać się żadna krzywda: Ja jestem. Nie bójcie się (Mt 14,27).
          Dosyć zagadkowe są słowa: chciał ich ominąć (Mk 6,48b). Jak mówią niektórzy teologowie, być może Jezus początkowo nie miał zamiaru pomagać uczniom, a jedynie chciał pokazać swoją moc (epifania). Wydaje się, że wtrącenie to ma raczej charakter przypadkowy lub zaczerpnięte jest z innego motywu Boga „przychodzącego”. Zresztą, nie ma tych słów ani w wersji Mateusza, ani Jana.
           Marek pokazuje ponadto zdumienie uczniów, którzy nie pojmowali jak można rozmnożyć chleb, uciszać burzę, chodzić po jeziorze: Oni tym bardziej byli zdumieni w duszy, że nie zrozumieli sprawy z chlebami, gdyż umysł ich był otępiały  (Mk 6,52). Być otępiałym, to znaczy nie wszystko rozumieć. Można dostrzec tu pewną ekonomię ujawniania przez Jezusa swojego powołania i synostwa Bożego. Może należy w którymś momencie przerwać wątpliwości i zawierzyć Jezusowi całkowicie i bezdyskusyjnie?
          W Genezaret Jezus uzdrawiał ludzi. Wykazywał swoje zdolności paranormalne: a wszyscy, którzy się Go dotknęli, zostali uzdrowieni (Mt 14,36). Zdolności te uważane są za anomalne zjawiska mentalne. Ich pochodzenie może być bardzo różne. Wydaje się, że ich źródło usadawia się w drugiej połowie mózgu. Zdolności te może mieć każdy człowiek. Można też je rozwijać przez odpowiednie ćwiczenia. Czasami zjawiają się znienacka na skutek jakiś przeżyć, choroby, upadku, czy zdarzeń. Mogą też same zniknąć. Niektórzy mają je jako dary łaski od Boga. Jezus z pewnością otrzymał je od Ojca. Miał świadomość swoich możliwości. Wielokrotnie najpierw podejmował czynności cudowne i w trakcie już podjętych działań prosił Boga o wsparcie. Był pewien, że Bóg Go nie zawiedzie. Okazywał Bogu pełne zaufanie. W Nazarecie oraz w innych miastach Jego zdolności na nic się nie zdały, bowiem do uzdrowienia potrzebna jest wiara chorego. Wiara uruchamia mechanizmy, które usuwają chorobę. Bez nich działanie Uzdrowiciela nie przynosi żadnych efektów.  
          W rozdziale piętnastym Ewangelii odkryta zostaje częściowo postawa Jezusa. Jak już pisałem, Jezus był na swój sposób rewolucjonistą, znakiem sprzeciwu wobec tradycji żydowskiej. Faryzeusze i uczeni w piśmie zaniepokojeni postawą uczniów oraz głoszoną nauką Jezusa przychodzili do Niego chcąc Mu wykazać błędy doktrynalne i łamanie Tradycji. W zwyczaju było mycie rąk przed jedzeniem. Wynikało to z potrzeby usunięcia nieczystości  nabytej np. na targu. Faryzeusze zarzucali uczniom Jezusa łamanie Tradycji. W polemice Jezus z faryzeuszami był twardy, zdecydowany i bez kompleksów. Na zarzut stawiany Jego uczniom odpowiada szybką ripostą. Wykazuje im, że i oni nie trzymają się przykazania Bożego czcij ojca i matkę swoją oraz kto złorzeczy ojcu lub matce, niech śmierć poniesie. Faryzeusze uważali, że wystarczy złożyć w ofierze dar na rzecz rodziców i ta ofiara zwalnia ich od czci (wsparcia) ojca i matki; [Kto to czyni] ten nie potrzebuje czcić swego ojca ni matki (Mt 15,6). Należne rodzicom wsparcie przeznaczają jako darowiznę na rzecz świątyni i tym samym, stają się darczyńcami świątyni. Oczekują więc pochwał kosztem nie wypełniania zobowiązań względem rodziców. Syn mógł uwolnić się od zobowiązań, które miał względem starzejących się rodziców ogłaszając korban (ofiarowanie Bogu części majątku lub pieniędzy). Prawo korbanu jest przykładem jednego z wielu kruczków prawnych służących obejściu Prawa Bożego. To, co na zewnątrz wydaje się pobożnym zachowaniem, w rzeczywistości zakrywa obłudę. Jezus poucza słowami Izajasza, że prawa Boże są ważniejsze od zasad podanych przez ludzi (Mt 15,9). W zasadzie oskarża faryzeuszy i uczonych w piśmie słowami Izajasza: Ten lud czci Mnie wargami, lecz sercem swym daleko jest ode Mnie (Mt 15,8; Iz 29,13).
          Jezus nawiązuje do obłudy faryzeuszy i wytyka im: Nie to, co wchodzi do ust, czyni człowieka nieczystym, ale co z ust wychodzi, to go czyni nieczystym (Mt 15,11). Tym samym, chciał im powiedzieć, że nie jest ważna nieczystość rytualna, ale moralna, bo to ona prawdziwie czyni człowieka nieczystym.  Na te słowa faryzeusze zgorszyli się. Trudno im było przebić się poprzez utarte schematy myślowe.
          Podobne zdziwienia dostrzegam dzisiaj, gdy prezentuję odmienną interpretację (egzegezę) Pisma świętego, gdy przekonuję, że nie ma ontologicznych aniołów ani szatana, a Bóg nikogo nie karze. Powstaje niemal zgorszenie, gdy wskazuję, że Jezus dopiero na krzyżu doznał chwały, a w Betlejem urodził się Człowiek. Dosłowne cytaty z ewangelii, które o tym mówią wprost, nie są miarodajne, ani wiarygodne. Bluźniercą jestem, gdy mówię o okaleczeniu Maryi, a nie o jej niepokalanym poczęciu. To, co zostało przez lata wpojone, trudno jest wykorzenić. To ślepi przewodnicy ślepych (Mt 15,14). Moja dziewięćdziesięciojednoletnia matka dużo czyta. Ostatnio dzwoni do mnie i mówi entuzjastycznie: wiesz, w tej książce co teraz czytam bardzo wiele pisze podobnie, tak jak ty mówisz. Po wysłuchaniu przez radio mszy w niedzielę, zauważa nieznaczne zmiany w katechezie.
          Ja wiem, że idę słuszną drogą. Dzisiaj jestem jedynie szpicą nowego, rozumnego oglądu wiary. Już niedługo będzie się o tym mówić w sposób normalny w samym kościele.